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Vaiteani – Signs

Après les titres Homai et Signs, le voyage continue dans l'archipel pop folk des Vaiteani avec Embrace, un titre puissant et organique qui parle de résilience et qui s'accompagne d'un film onirique sur les différentes étapes du deuil. « Il y a toujours une façon d’entrevoir la beauté des êtres, même perdus... » La sortie de ce nouvel extrait marque une nouvelle étape dans l’exploration de l’archipel sonore des Vaiteani.
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Vaiteani – Signs
Sortie le 20 novembre 2020 chez Motu Hani / Believe

Vaiteani nous fait découvrir Embrace, nouvel extrait de l’album Signs qui sort le 20 novembre 2020.

Après les titres Homai et Signs, le voyage continue dans l’archipel pop folk des Vaiteani avec Embrace, un titre puissant et organique qui parle de résilience et qui s’accompagne d’un film onirique sur les différentes étapes du deuil. « Il y a toujours une façon d’entrevoir la beauté des êtres, même perdus… » La sortie de ce nouvel extrait marque une nouvelle étape dans l’exploration de l’archipel sonore des Vaiteani. Depuis le cœur de l’île de Tahiti, le duo fait glisser de titre en titre son folk polynésien originel sur les sentiers de la pop fluorescente.

L’album Signs, porté par le single Embrace, est donc la nouvelle escale de Vaiteani et elle nous dévoile une facette sensible, envoûtante, sublime du duo. Leurs notes nous transportent, nous séduisent, nous bouleversent. Il y a dans leur musique quelque chose d’émouvant et de magnifiquement beau.

Vaiteani – Embrace (Official Music Video)

Avec leur premier album sorti en 2017, les Vaiteani nous ont conviés dans leur monde : des chansons folk en tahitien et en anglais, loin de tout cliché. Un timbre de voix et des mélodies dont il est impossible de douter de la sincérité. Des textes forts mis en valeur par des arrangements qui rappellent la dentelle des élégantes robes que porte la chanteuse lors de ses concerts.

Aujourd’hui, les Vaiteani évoluent et font glisser leur « folk polynésien » originel sur les sentiers de la pop fluorescente et de l’électro fine. Une transition accomplie avec beaucoup de grâce qui demeure fidèle à l’adn du duo. Toujours l’anglais parfait et le tahitien ancestral pour parler. Un deuxième album ambitieux qui marque, plus que jamais, la fusion de deux identités.

Le couple considère les chansons de ce deuxième opus comme les îles d’un archipel. Elles font partie d’un tout mais ont chacune leurs propres singularités, leur propre histoire… Les influences de Luc ont fait éclore Homai, un afrobeat à la tahitienne, unique en son genre ; Reason, un tube folk à la Vance Joy ou encore Kiss Kiss, une happy song au balafon sur fond d’électro. La sensibilité de Vaiteani suspend le temps et convoque l’émotion sur un piano-voix tel que « Heitiare » ou sur une balade comme « Signs », titre qui baptise l’album pour rendre hommage à ceux qui nous ont quittés. Oui, dans cette musique, il est aussi question de spiritualité.

Les amoureux savent s’entourer. Ils collaborent à nouveau avec le réalisateur artistique David Grumel (The Pirouettes, Neeskens) avec qui ils co-réalisent le disque et sollicitent pour leur unique reggae « Angry » le producteur Manjul qui, depuis son studio Humble Ark à Bamako, s’impose comme l’un des maîtres du genre.

Difficile de mettre une étiquette sur la musique de ces deux-là. Ce qui est sûr c’est que le lien se fait, tressé comme les motifs que l’on retrouve sur les tatouages polynésiens et que le monde s’est approprié. Nul doute que les Vaiteani connaîtront le même succès.

Avec leur premier album sorti en 2017, les Vaiteani nous ont conviés dans leur monde : des chansons folk en tahitien et en anglais, loin de tout cliché. Un timbre de voix et des mélodies dont il est impossible de douter de la sincérité. Des textes forts mis en valeur par des arrangements qui rappellent la dentelle des élégantes robes que porte la chanteuse lors de ses concerts.

Aujourd’hui, les Vaiteani évoluent et font glisser leur « folk polynésien » originel sur les sentiers de la pop fluorescente et de l’électro fine. Une transition accomplie avec beaucoup de grâce qui demeure fidèle à l’adn du duo. Toujours l’anglais parfait et le tahitien ancestral pour parler. Un deuxième album ambitieux qui marque, plus que jamais, la fusion de deux identités.

Le couple considère les chansons de ce deuxième opus comme les îles d’un archipel. Elles font partie d’un tout mais ont chacune leurs propres singularités, leur propre histoire… Les influences de Luc ont fait éclore Homai, un afrobeat à la tahitienne, unique en son genre ; Reason, un tube folk à la Vance Joy ou encore Kiss Kiss, une happy song au balafon sur fond d’électro. La sensibilité de Vaiteani suspend le temps et convoque l’émotion sur un piano-voix tel que « Heitiare » ou sur une balade comme « Signs », titre qui baptise l’album pour rendre hommage à ceux qui nous ont quittés. Oui, dans cette musique, il est aussi question de spiritualité.

Les amoureux savent s’entourer. Ils collaborent à nouveau avec le réalisateur artistique David Grumel (The Pirouettes, Neeskens) avec qui ils co-réalisent le disque et sollicitent pour leur unique reggae « Angry » le producteur Manjul qui, depuis son studio Humble Ark à Bamako, s’impose comme l’un des maîtres du genre.

Difficile de mettre une étiquette sur la musique de ces deux-là. Ce qui est sûr c’est que le lien se fait, tressé comme les motifs que l’on retrouve sur les tatouages polynésiens et que le monde s’est approprié. Nul doute que les Vaiteani connaîtront le même succès.

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